Je me souviens j'étais très, très, très timide. Tout est parti de mon fils, Louis, qui a aujourd’hui 10 ans. Elle attend dans la voiture, j’entre. Témoignez sur le blog Haut de page / Index En fait, je crois que j’adore la précarité ! Voila, ce n'étaient que les 10 premiers mg. Marraine la bonne fée, ne m'a pas accordé la permission de minuit et ce soir, le carrosse redeviendra citrouille mais d'ici-là, j'aurais commencé d'apprendre la valse et demain, je recommencerai et bientôt, je saurais danser. Mais dans mon couple, c'est du coup bien plus difficile à gérer. Alors, j’ai continué à grandir avec ce sentiment d’être moins que les autres, j’ai continué à me dévaloriser jusqu’à l’âge de 40 ans appelé communément « l’âge mûr ». LorieLe parcours de Zoé : Lire ici.Il n'est jamais trop tard pour un diagnostic !Il y a un peu plus d’un an, un article paru dans la presse m’a permis de découvrir le TDA/H et votre association.Vous m’avez envoyé une liste de praticiens spécialisés dans la détection et le suivi du TDAH. En grandissant, il va prendre de la maturité, être de plus en plus conscient de ce "trouble" et il va savoir où il est faible.Vous les parents, vous devez aussi permettre à votre enfant de faire développer en lui son côté artistique. J'ai lu dans ses yeux la honte, la déception, le découragement. Nous arrivons devant le boucher, ma mère me dit « 1/2 livre de jambon cuit … Qui aime oublier de payer des factures ?Les exemples sont nombreux.Depuis que je suis diagnostiquée TDA/H ma vie a changé.Depuis que je suis traitée pour mon TDA/H tout va bien mieux.Je sais enfin qui je suis. Pas grave, je le ferai tout à l'heure.Hop les biscuits dans le four. Mon père ma toujours reproché d’être nulle et différente, ma mère disait que je faisais que des châteaux en Espagne, que je m’intéressais qu’au luxe.Moi j’aimais l’art, les belles choses, et je lisais énormément sur tout. J'ai souvent l'impression que ma machine s'emballe, que je suis prise dans un train d'enfer, qui me donne le vertige. A l’adolescence, mon mal être n’a fait qu’empirer, je me suis mise a fumer et a traîner avec des voyous, je me suis souvent prise des bonnes cuites. Je commence par les plus ingrates en me disant que si je suis trop crevé je laisserai les plus futiles de côté. C’est extrêmement frustrant, puisque les adultes atteints du TDAH ne souffrent pas d’un manque d’intelligence, d’habilité, de forces ou de talent. Ceci parce qu'il y a quelque chose dont je ne m'étais pas rendue compte avant d'y être confrontée cette semaine. Je suis animateur de radio et mes collègues m'apprécient. Je perçois la vie comme une lourde montagne à monter et pour les autres, le tout semble normal, simple, etc. J'ai changé plusieurs fois d'orientation scolaire, occupé plusieurs emplois, eu plusieurs amoureux et j'ai déménagé bien souvent avant de prendre conscience de mon trouble de déficit d'attention.Aujourd'hui, j'ai une médication, je suis plus calme et plus stable. Que franchement, des fois, il ne comprenait pas ce que sa prof voulait. , je me suis complètement plantée et j'ai très mal vécu cette période, vu que je n'arrivais pas à synthétiser les infos qui me parvenaient et que les cours se donnaient de manière "Ex cathedra" c'était vraiment trop pénible et lors des examens oraux j'étais complètement pétrifiée. Je remarque souvent que les gens de mon entourage réussissent mieux que moi. Wallace, enseignant, témoigne Petit témoignage vécu dans … J'ai 38 ans et je ne me suis jamais posé la moindre question. J’aurais aimé que l’on me fasse ce cadeau, on ne me l’a jamais fait mais je jure ici que quoi qu’il advienne j’aimerai ma fille pour ce qu’elle est, toujours. Quand je regarde en arrière, j'ai des regrets. J'ai oublié. Je suis infirmière en milieu scolaire et donc régulièrement confrontée à ce trouble chez les enfants. Mes idées sont souvent confuses. Ce qui m'est vraiment très pénible à vivre au quotidien et nuit à la relation est la grande difficulté à être en relation avec lui quelques minutes et son impulsivité. Bonjour, cela fait quelques fois que je fais la lecture de votre site. Bien évidement, les ennuis ont commencé à l'école ou en famille, je me suis toujours sentie rejetée, "à part", on m'appelait "la nunuche" car je n'osais rien, j'étais complexée et angoissée. Je ne suis même pas lavée, je ne ressemble à rien.J'ai honte.Mon amie est mon amie. Quand je rentre à la maison, je trouve mes enfants sur le pas de la porte en train de pleurer. Mes découragements ont hélas là même intensité...détruire est parfois tellement plus simple que de construire.... Peut-être qu'enfin je vais voir le bout du tunnel... avec une médication et un soutien psychologique adaptés et surtout m'accepter telle que je suis aujourd'hui. Merci : Lire ici.Médication, premier jour. Il m'arrive fréquemment d'avoir une faible estime de moi car j'ai peu confiance en moi. © 2018 - 2020 TDA/H Belgique asbl - All rights reserved. Les règles de cette tâche ou de ce jeu me semblent impossible à comprendre. Au quotidien, je suis obligé de concentrer mon attention sur de petites choses comme traverser la rue pour ne pas me faire écraser, préparer une salade de tomates sans me couper… Résultat, je suis toujours inquiet de ce qui va se passer dans les cinq minutes suivantes, je ne suis jamais cool, tranquille… Evidemment, côté vie amoureuse, cela ne facilite pas les choses. Et pourtant j'y arrive pas….. je bloque à chaque fois que j'y pense….. à chaque fois que je veux m'y mettre….. Je veux commencer, mais je remets à tantôt, à plus tard, à demain…. Ce n'est qu'adulte que j'ai découvert que je souffre d'un trouble avec déficit de l'attention et que je suis surdouée. AliciaLe témoignage de Margaux : Lire ici. Aujourd’hui je dis merci à l’université qui a un programme exceptionnel d’aide aux étudiants afin d’être partenaire de notre réussite. Alors pour moi cela s’appelle le bonheur, c’est un avenir pour notre famille sous le signe du progrès et de la réussite des enfants, pour la première fois de ma vie j’ai de l’espoir et j’ai envie de profiter de chaque minute après avoir perdu 38 ans de rejet, de mal être.Mais cela reste regrettable d’avoir passé tant d’année sans qu’un seul médecin soit capable de poser un diagnostique d’autant que ce soit pour les enfants ou moi-même, sur plusieurs années on a vu un certain nombre dont des spécialistes pour enfants.Je n’ai pas mon diplôme de toubib, mais moi j’ai trouvé alors qu’eux avec leurs années d’études non jamais étés capables de proposer des tests qui correspondaient à nos déficits, pire ils ont nié se bornant à me rendre responsable.Alors que si on avait seulement gagné quelques années pour être pris en charge, nôtre vie en aurait été vraiment meilleure.Je finirai en disant que cela vaut vraiment le coup de se battre, et de se faire confiance même quand les autres vous font douter.Merci a ceux qui m’ont soutenue et aidée.J’ai choisi de me battre pour changer notre destin, pour que nos enfants puissent réussir leur avenir avec leurs différences.Mon mari, caricature du déficit de l'attention : Lire ici.Bienvenue dans mon cerveau TDA/H Si dans le cerveau d'une personne dite normale, il faut 10 connections électriques pour laver la vaisselle, ces 10 connections se connectent toutes au même endroit. Une deuxième maison de repos où je suis resté deux ans avec de grosses tensions avec mes collègues et aussi la direction… ben oui, je suis lent et sur le temps qu’une aide-soignante faisait 3 toilettes, moi, infirmier, je n’en faisais que 2… Là aussi j’ai eu la chance de croiser une responsable de nursing qui m’a coaché comme un jeune élève de première année.Ensuite, j’ai travaillé dans un centre pédiatrique, c’était un remplacement et enfin dans un centre psychiatrique où là aussi, je me suis effondré après trois mois seulement tant le travail y était lourd au niveau émotionnel.J’ai entrepris une thérapie de 4 ans visant entre autres à restaurer une estime de moi-même déficiente et à mieux m’affirmer.Je suis actuellement depuis maintenant 18 ans infirmier dans une autre clinique psychiatrique où, comme le dit le slogan de l'asbl TDA/H Belgique, ma différence est devenue une force.- Je travaille la nuit, je m’entends bien avec mes collègues mais ceux-ci sont dans d’autres unités- Je suis lent, je mets deux à trois fois plus de temps que mes collègues pour préparer les traitements, ça ne fait rien, j’ai 11 heures de travail pour m’organiser- Quand je donne un soin à un patient, puisque je suis lent, je prends plus de temps avec lui, ce qui, en psychiatrie est assez apprécié- Comme je suis seul pour gérer les situations délicates, je peux prendre des libertés d’action qui ne me seraient pas possible en équipe, guidé simplement par la bienveillance et le bon sens.Parallèlement à mon métier, je me suis développé aussi dans divers bénévolats où je suis apprécié pour mon engagement.Mon TDA/H a été diagnostiqué seulement quand j’avais 47 ans, rien que le diagnostic a fait s’envoler de mes épaules un poids que je ne supportais plus. Lire ici.Le TDA/H est une souffrance. Mais toutes ses douleurs d'enfant avec son lot de remarques désobligeantes et ses humiliations ont refait surface. J'ai transformé mon côté hyper introverti en hyper extraverti.Dans certaines écoles, les enfants atteints de TDA/H ont la chance de bénéficier de temps supplémentaires pour les examens ou interros. Parfois les gens ne me parleront pas car j'ai souvent des propos peu ou pas appropriés dans la conversation courante. Beau témoignage d’une jeune femme sur son TDAH. Cette semaine j'étais un peu fatiguée, je me suis couchée tard tous les soirs. Etre atteint du TDA/H m’a appris à rebondir. De ses renvois d'école, il en dit juste qu'il avait "un problème avec l'autorité". Ma situation fait souvent que je suis un peu exclu dans un groupe social. Certains comportements de mon compagnon me font en effet très fort penser au TDA. Je me sens nulle. Passionné d’informatique, j’ai entamé des études d’ingénieur, trouvant là une sorte de vocation. D'autre part, je n'ai pas envie de devenir la rasante, la mère modèle et emmerdeuse qui tente de le canaliser. Elle font du sport ou du bénévolat.Moi je ne fais rien. Au contraire, depuis que j’ai été diagnostiqué « hyperactif », je me sens profondément libéré et déculpabilisé. J'ai beaucoup de mal à supporter les autres que je ne trouve pas assez rapide, souvent je fais les choses à leur place et cela m'épuise. Témoignages d'enfants. Face à ce débordement d'émotions qui le submergent, je tente de ne pas me laisser culpabiliser et de rester très calme et rationnelle et je nous protège en coupant physiquement la relation le temps que la tempête passe (ce qu'il me laisse difficilement faire). Je pense tout le temps. Lire ici.AdelineIl est tard tout le monde dort et moi je pense, seule d'une certaine façon je souffre.J'aimerais pouvoir corriger ce que je fais toujours de travers.Le pire c'est que souvent lorsque je me laisse aller à mes défauts naturels j'entends toujours une petite voix qui dit Adeline arrête toi, mais c'est plus fort que moi je pars toujours sans m'arrêter, il faut que ce soit les autres qui m'arrêtent.Ce défaut il m'effraie à tel point que parfois je préfère rester chez moi seule à me parler toute seule dans ma tête, comme ça je ne saoule personne, j'évite de croiser les gens pour ne pas leur parler, je pars à la dernière minute comme ça je ne croiserai personne.Mais j'ai un besoin énorme de parler, alors je canalise tout le temps, jusqu'à ce que j'oublie de faire attention et là, ça ne rate pas on me juge, celle là quelle bavarde, on ne peut pas s'en décrocher, je le lis dans n'importe quel regard, mais je suis incapable d'arrêter, le flot est parti.Pour moi le TDA/H c'est surtout ce défaut là qui m'empoisonne littéralement la vie, j'aimerais pouvoir me taire, pouvoir écouter une question jusqu'au bout sans interrompre toujours les personnes qui me parlent j'arrive parfois à maîtriser, mais si peu que personne n'est capable de le voir.Et puis quand je parle, impossible de canaliser non plus ça part dans tout les sens j'en oublie parfois le but premier, et en plus les personnes avec qui je parle sont souvent persuadées que je ne les ai pas écoutées alors que tout au contraire j'ai fort bien entendu ce qui m'étais dit . Tout s’est compliqué à son entrée en maternelle. Mon fils est aussi "agité " ...nous sommes en questionnement par rapport à lui , nous envisageons de le faire diagnostiquer également. Aux réunions de famille on entretient tous plusieurs conversations en même temps parfois dans plusieurs langues pour mieux se repérer quand on discute de deux choses en même temps avec la même personne. Malgré mon TDA, j'ai une carrière intéressante. Alors, je suis obligé de recourir à la Ritaline pour m’aider. J'arrive à la voiture, je me rends compte que je n'ai pas mes clés. Depuis deux semaines, la nuit je me réveille, en pensant à ce bête texte…. Les adultes TDAH alternent souvent entre deux ou trois de ces types, avec des cycles courts (quelques heures ou jours). J’avais aussi un voisin plus jeune que moi de 4 ans, avec qui je m’entendais bien, et malgré la différence d’âge, dans notre relation, c’était lui le leader.A l’âge de 17 ans, un prêtre qui avait une grande influence sur moi et sur mes parents m’a demandé si j’acceptais d’être moniteur en colonie de vacances… Je n’ai pas osé lui dire non… ni maman non plus (elle faisait aussi tout pour me garder auprès d’elle) C’est comme ça que j’ai démarré dans la vie.De fil en aiguille, d’autres « anges gardiens », ou « tuteurs de résilience » ont croisé mon chemin. J'ai eu une adolescence très pénible ( pour les autres ! J'ai pas envie d'y aller. Je sais quelles sont mes capacités.Mes proches m'apprécient.Je suis devenue enfin efficace.En fin de compte depuis que je suis médicamentée je bénéficie enfin des avantages de mon TDA/H c'est à dire efficacité, rapidité, sens de l'à propos, vivacité d'esprit mais plus de ses inconvénients.Alors je prend des médicaments.Je pourrais vivre sans. Vous devez avoir souffert de problèmes de concentration, d’attention, d’organisation et de mémoire toute votre vie pour recevoir un diagnostic de TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité) à l’âge adulte. Quel soulagement ! A l'adolescence, j'ai choisis des études artistiques qui me permettait d'être plus "créative" ,de pouvoir être en mouvement, j'ai doublé deux années mais j'ai fini mes humanités, les profs m'appréciaient pour ma vivacité d'esprit et mon humour, nous étions "égaux », je ne ressentais pas d'autorité de leur part, on se respectaient simplement. Nous sommes : intelligents, compliqués, travailleurs, désordonnés, sans organisation, sans anticipation, imprévisibles, jamais contents, jamais satisfaits, perfectionnistes, lents, menteurs parfois, avec des excès d'humeur ou très content, hystériques ou déprimés, coléreux, soupe au lait, oublieux, distraits, gaffeurs etc... et tout ceci sans jamais avoir une seule fois l'envie de nuire ou de faire mal, il n'y a jamais de mauvaise intention derrière chaque mot que nous prononçons, ou geste que nous faisons, en faite nous sommes des anges mais les autres ne le savent pas...Enfin trouver la paix intérieure : Lire ici.Mon TDA/H et moiGrrrrrrrrrrrrrr….. Je suis assis à mon bureau et je regarde par la fenêtre….. encore… et encore…. Aujourd'hui j'ai refait ma vie avec une personne "normale" disons et encore maintenant c'est difficile car j'ai peur de faire fuir les gens que j'aime et j'ai perdu confiance en moi, je suis toujours extrême dans tout y compris mes sentiments, je sais être calme plus ou moins mais je suis souvent agitée et à la maison parfois je plains mon compagnon et mon premier garçon car eux ils sont calme mais Thibault et moi ensemble nous faisons des étincelles et je me remet souvent en question.Comment se calmer, se modérer, quand l'énergie bouillonne en soi ?? Etonnamment, j'ai très bien vécu ma scolarité puisque ma mère me félicitait toujours pour mes punitions preuve pour elle que j'avais un esprit indépendant. MSH Alpes 124,219 views Je me demande comment j'ai fait !?!? Les "autres" ne m'aiment pas ou alors ils m'ont aimé mais je les ai déçu et ils m'ont quitté. Je cuisine et je plie une manne de linge et je téléphone. Témoignage TDAH adulte : Pascal Adulte, je gère enfin mon hyperactivité Publié le 19 mars 2007, mis a jour le 2 novembre 2019, par Pascal Feuilletant un livre sur l’hyperactivité dans une librairie, Pascal découvre à 40 ans son TDAH. Je suis un bon gars dans le fond. Je ne comprends pas et c'est angoissant pour moi. Je suis atteinte du TDA sans H diagnostiqué il y a peu...L'autre jour, j'étais au calme chez moi, et pourtant, l'hyperactivité mentale tourbillonnait en moi et j'ai pensé que l'appellation qui me correspond pourrait porter un autre nom. Je me sens nul…. C’est à 47 ans qu’un médecin mettra enfin un nom sur le trouble qui me pourrissait la vie depuis si longtemps, « le TDA/H ». La porte vient de claquer. Je pense trop. C’était la façon que j’avais trouvée de m’évader de ce monde ou j’étais la nulle de service qui ratait tout.J’ai toujours appris mes leçons et fais mes devoirs, sans que rien ne rentre et je n’avais aucune aide. Le temps passe. Je regarde par la fenêtre….. Je sais pas trop….. Je retourne vers Facebook, j'essaie d'oublier quelques minutes….. les minutes deviennent des heures….. il est presque 16.00 heures et toujours pas écris une ligne….Je me force….. je me dis que j'ai écrit un mémoire à l'unif de 100 pages…. En toute sincérité, j'ai dis non, il est vraiment le seul à avoir des problèmes scolaires. Dans la cour de récréation, on ne voulait pas forcément jouer avec moi. La Vie se chargera de mettre sur leur route ces « anges gardiens » ou « tuteurs de résilience » selon le terme que vous acceptez ; en d’autres mots, des personnes qui les accompagnent et qui croient en eux lorsque eux n'y arrivent plus.En tant que parent, accompagnez simplement votre enfant, à son rythme, avec vos doutes et surtout vos espoirs. Ce matin je me lève. ... mais on ne parle plus de tdah mais d'enfant atopique. Elle m'attend pour notre déjeuner prévu depuis des mois.Déjeuner ? J'avais envie de laisser un message pour toutes celles et ceux qui hésitent à consulter pour un éventuel diagnostic de TDA/H chez leur enfant. Mon compagnon a la quarantaine et sans doute à l'époque ces enfants étaient-ils classés comme distraits ou rêveurs et ces ados comme rebelles et casse coups.Sa scolarité a d'emblée été pénible avec plusieurs redoublements, des renvois d'écoles et des passages en internat pour tenter de le canaliser. Je me souviens j'étais très, très, très timide. En début de traitement vous n’imaginez pas comme j’ai apprécié de ne plus me cogner partout, et de ne plus voir les enfants se percuter plusieurs fois par jour dans la maison.Et qu’elle joie de pouvoir parler sans emballement et de bien comprendre une conversation dans son intégralité. Je ne l'ai pas écouté. Les femmes parlent de leur vie.Elles font presque toutes partie de clubs ou d'associations. Il peut alors d'un coup perdre toute mesure, se sentir désaimé, voire rejeté, se mettre dans des états émotifs incroyables de la plus grande tristesse à la plus grande colère, me soupçonner du pire, détourner mes paroles en dehors de leur contexte et les interpréter contre lui, retourner la critique contre moi... Je pense qu'il souffre beaucoup dans ces moments et qu'il ne parvient plus à sortir de ces ruminations incontrôlables. Il est associé, chez l’adulte, à des comportements à risques et addictifs. Au contraire, quand il est intéressé par un sujet, je suis souvent surprise par sa subtilité et une grande vivacité d'esprit.A l'adolescence, il a souvent eu des comportements à risque et multiplié les accidents graves en voiture. Et je faisais de la musique mais il me fallait une deuxième période, alors ma maman m'a dit : " fais de la déclamation !". et encore…. Dans une réunion avec les collègues, je m'égare dans mes pensées, je perds le fil de ce qui se dit, je vais regarder inutilement par la fenêtre parce que j'ai entendu, par exemple, un gros camion passer sur le boulevard où se trouve le bureau, etc. Rejetée par les autres qui ne comprennent pas sa manière d’agir. Retrouver ce sacré chéquier 2. Je ne suis pas capable de me concentrer bien longtemps sur les choses du quotidien. Je passerais mon temps à '' cogner des clous '' à cause de la monotonie. Quand la neuropédiatre qui a enfin diagnostiqué notre fils TDA, elle m'a demandé s'il y avait d'autres cas dans la famille. J'ai vu cette semaine mon mari peiner dans l'élaboration de ce travail comme je ne l'avais jamais vu avant. Ma mère a rigolé et n'a absolument pas tenu compte de cet avis (dont elle m'a parlé il y a peu). Psychologie Essayer d'avoir une vie normale avec un enfant TDAH... Psychologie J’ai un TDA/H.J'ai fait mes 6 années de secondaire dans une école réputée pour être exigeante et très dure.Vous vous demanderez peut-être pourquoi je vo us envoie ce mail. Tous ces échecs me minent et je me culpabilise terriblement d'être en difficulté alors je suis depuis peu en démarche de diagnostique. Pour moi, c'est normal mais ça perturbe les autres. J'avais caché à mon épouse les nombreux rappels et sommations.Elle m'a regardé en pleurant et m'a dit « C'est fini, tu ne changeras jamais ». 1- Vous êtes une personne adulte avec un TDAH témoignez : des difficultés à vous insérer dans une entreprise, à conserver votre emploi, les raisons qui vous amènent à quitter une entreprise ou un employeur qui préfère ne pas poursuivre l’expérience… Je ne sais pas si vous pensez maintenant que j'appartiens à la famille fol-dingue mais ça m'a fait du bien de raconter mon histoire, je n'en parle jamais à personne même si je vois que les gens me regardent parfois bizarrement quand je commence à travailler en multitâche. Vers l'age de 11 ans j'ai commencé à faire des grosses crises d'angoisse, lorsque je devais me concentrer sur les maths, je cassais tous mes crayons, je mordillais tout ce que j'avais sous la main, j'étais angoissée. Il est très intéressant. Puis je dois m'arrêter pour récupérer. Je serai donc plus content de moi et donc je l'espère plus heureux. Sur les 10 connections nécessaires à l'action de faire la vaisselle, seulement 3 ou 4 se connectent au bon endroit. Le deuil de la reconnaissance : Lire ici.DorisC'est en regardant une émission sur les troubles du comportements où j' ai vu une famille dont chaque membre est atteint de TDA/H que j'ai eu comme une révélation !Je me suis vraiment reconnue dans ce témoignage, peut-être était-ce enfin la réponse à toutes mes questions, mes interrogations, mes errances, mes frustrations.Toutes ces heures passées à réfléchir, à me torturer l'esprit à me demander pourquoi je me sens si différente. Plus récent, un témoignage contemporain parmi tant d'autres : " Je suis épuisée par mon incapacité à gérer le quotidien, je pars dans tous les sens, je pense à mille choses à la fois. Non.Un quelconque effet indésirable, une nausée, un mal de tête, un vertige ? Je me suis reconstruite et je me suis fait moi-même ma psychothérapie puisque aucun médecin n’a voulut m’aider et me comprendre.J’ai dépassé des tas de blocages, et j’ai commencé a vraiment me sentir mieux à 35 ans et j’ai continué de progresser mais il restait de nombreuses choses que je m’expliquais pas. Je suis « tombé » sur des personnes qui m’ont tendu la main, qui ont cru en moi, qui m’ont littéralement coaché. Cependant, j'hésite encore à m'engager dans des projets ou des relations, hantée par la peur d'abandonner de nouveau. Mon mari me parlait. Gamin très solitaire, il m’était difficile de trouver ma place au sein d’un groupe. Chaque matin il faut se lever, surtout arrêter de penser. Publié le 19 mars 2007, mis a jour le 2 novembre 2019
Fille unique mes parents me disaient capricieuse, nerveuse, sensible etc... je passais mon temps à leur dire que je m'ennuyais, j'ai consacré tout mon temps d'enfant seule devant la télé. Après, c'est trop dur. En France, le TDAH toucherait entre 3,5 et 5,6 % des enfants. Ca ne s’est pas fait tout seul, la responsable du service m’a pris sous son aile comme une mère.Quand je me suis lancé dans la vie professionnelle à l’âge de 19 ans, j’ai voulu être éducateur… avec un diplôme de tourneur – ajusteur – fraiseur. Un pas, suivi d’un autre pas, votre enfant développera toutes ses potentialités pour devenir un adulte épanoui.Lire le Témoignage de ChristopheAnnieJ'ai 18 ans, je m'appelle Annie, et j'ai terminé mes humanités secondaires. Globalement, mon insertion professionnelle s’est faite sans problème. Tdah test adulte Rechercher Recherche : Tdah chez l'adulte sous strattera Rechercher dans ce sujet pri46ck Posté en 2013 Bonjour! Le médecin que j’ai consulté a été formidable.Une fois le diagnostic posé, il m'a aidé à gérer mon TDA/H, mais aussi le HP que j'ai découvert à la même occasion.Peu à peu, à l'approche de la quarantaine, j’apprends à être moi-même, à suivre mon instinct et à m’émerveiller de tout ce la vie peut m’offrir : travail, sport, relations avec ma famille et mes amis, travaux d’écriture… on peut parler de renaissance.C’est important pour moi de vous remercier pour tout le travail que vous effectuez. J'ai toujours été ainsi et depuis le temps j'aurai du m'habituer, et bien pas du tout plus ça va, moins ça va,je me supporte de moins en moins. Un tendre hommage à mon TDAH 27 octobre 2014 J’ai 7 ans, peut-être huit. Ne pas être capable d'organiser ses journées et être fatiguée. Je ressens un besoin fréquent de changer de situation. MarionJ'ai toujours su que j'étais différente, mais cela ne fait que quelques mois que j'ai mis un nom sur cette différence : « TDA/H ».Je suis d'apparence plutôt calme, c'est plus mon esprit qu'il faut occuper que mon corps. Je me suis alors décidée à travailler comme vendeuse, alors ont commencé la danse des boulots, l'instabilité professionnelle et affective... c'était la galère !Mes difficultés résidaient surtout dans le refus de l'autorité, je ne tenais pas en place, j'avais toujours des remarques sur mon comportement, ma "spontanéité " excessive, mon agressivité parfois que je qualifierais plus d'arrogance. LauretteJe déteste mon TDA/H !Ce matin mon patron m'a dit que j'étais multitâches...J'ai souri... Avant qu'il poursuive...Parce que vous êtes capable de faire foirer plusieurs choses à la fois... AmélieJ'ai découvert il y a peu que je suis TDA/H, comme mon fils, Thibault.Je comprend mieux aujourd'hui pourquoi je me suis toujours sentie aussi mal avec moi même, pourquoi je ne trouvais pas le bon équilibre à ma vie et pourquoi si jeune je me sentais incomprise, toujours punie, toujours rebelle.C'est seulement en voyant mon fils que je me rappelle comment j'étais.A l'école je n'avais pas de copines, j'étais garçon manqué, je préférais jouer au foot avec les garçons que sauter à la corde. Elle est organisée, contrairement à moi. Et ce que moi, j'avais raté aussi en tant qu'épouse depuis 12 ans. Mais le prix de tout ça, une mauvaise estime, des excès de franchise, de l'inattention, combattre les dangers, un manque de confiance, une mauvaise mémoire, un malaise permanent, personne ne comprend ce que je suis mais je ne veux pas qu'elles comprennent, je ne veux pas qu'elles sachent, ce mystère, je l'ai en moi et je le garde tel qu'il est, c'est un secret, c'est une force exceptionnelle qui peut être apprivoisée si on comprend son déroulement, si on évite ses pièges qui nous tentent, supra énergie ne veut pas dire invulnérable, juste différent, juste étonnant.Vivre avec mon déficit d'attention. Je ne veux pas le changer ni me perdre moi-même dans ce tourbillon qui me dépasse parfois . En lisant les différents témoignages, je me suis rendue compte de la composante génétique du TDA/H: beaucoup de familles comptent plusieurs enfants TDA/H et beaucoup de maman se rendent compte qu'elles sont elles-mêmes TDA/H. Je regarde ma maison qui ne ressemble à rien. Ma première souffrance date « des bancs de l’école » où je me sentais tellement différent des autres enfants sans jamais pouvoir mettre le doigt sur le trouble qui me rongeait. Le TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité) n’est pas réservé aux enfants! Voici maintenant mon point de vue sur ce trouble, opinion que je me suis forgé après 2 ans de recherche personnelle, aidé par un spécialiste, quelques réunions ou échange entre adulte TDAH en Suisse ou dans ma ville à Grenoble, et une dizaines de livres sur le sujet TDA adulte , la plupart américains. Bien sûr je compte me faire accompagner pour pouvoir apprendre à être plus autonome. Comme aide je lui offre mon amour inconditionnel pour ce qu’elle est. Par la suite, j'ai récolté punitions sur punitions et jours de renvoi sur jours de renvoi. Je suis en recherche d'aide pour gérer certaines difficultés que nous rencontrons dans notre couple. Mon esprit était de nouveau parti.Je m'excuse encore.J'ai tellement besoin de réconfort.Mon parcours : Lire ici.Détourner les troubles biologiques pour rendre la vie pratiqueDétourner les troubles biologiques,pour rendre la vie pratique :-).S'hyperactiver à Vivre,S'hyperfocaliser sur ses passions,Se concentrer sur l'Amitié,Remettre à demain tous les soucis,Se distraire dans les rêves,Partir dans tous les sens du Bonheur, le sens de la bonne humeur, le sens de l'humour et les sens de toutes les joies à vivre.S'envoler dans ses pensées pour atterrir sur des bonnes idées.Échapper le pire pour attraper le meilleur.Perdre ses affaires c'est pas grave si on n'égare pas ses valeurs humaines et qu'il nous reste une bonne répartie aux paroles de la Vie.Savoir que gigoter c'est une activité physique... et que l'activité physique ça fait baisser la tension (mais pas l'attention)... et que c'est bon pour le cœur.Parfois l'hyperactivité mentale devient incontrôlable, quand l'imaginaire est sans limite pour écrire la Vie.Quand le temps passe et s'oublie en poésie sur les pages d'un quotidien compliqué...Quand les mots gigotent dans des pensées pour s'organiser dans l'imprévu d'une idée passagère.Quand une histoire s'échappe dans l'instant présent avant que la mémoire lointaine l'enferme jusqu'à un autre soir.Quand le cerveau zappe sur les urgences et se concentre sur un rêve de Bonheur.Avec des distractions à profusion dans un esprit voyageur, pas le temps pour négativer sur les aléas du jour.L'hyperactivité... C'est l'Art de Vivre plusieurs Vies à la fois...C'est l'Art de faire compliqué quand on peut faire simple...C'est faire des détours quand on pourrait aller droit au but...C'est l'art de chercher ce que l'on a dans la main...C'est partir dans tous les sens sauf le bon...C'est sitôt pensé... sitôt oublié...C'est l'art d'être spontanée... c'est « je pense », « je dis »...et « je réfléchis »...C'est aller jusqu'au bout d'une idée comme si la survie de la planète en dépendait.Et surtout c'est ne jamais s'ennuyer... car tout devient une aventure quand on sait bien utiliser les avantages des troubles associés :)...C. en mai qui écrit ce qui lui plait...Le témoignage de Mélodie : Lire ici.
2020 témoignage d' adultes tdah