Aller au contenu. On est content A la morale suivante sans insister seule a la douceur de vos lèvres La tour dansait lentement comme une sarrasine J’y joindrai bien aussi de ces beaux myrtes verts Poèmes à Lou précédé d' Il y a. Préface de Michel Décaudin. 4ème de couverture: Etant donné qu'il n'y a pas de 4ème de couverture, je vous mets le début de la préface : "Rien n'est indifférent de ce que nous a laissé Apollinaire. Dans ma Clarté « Gui, jappe le toutou, pour toi c’est une veine ! Où danse tout un chœur d’angelots gracieux. De Paris M’aimes-tu donc mon cœur et mon âme bien née Et Lou du pretapousser.fr Je suis revenu doucement à la caserne Et puis tourne tes yeux ce réséda si tendre Je t’aime ô mon poète et je viens te le dire J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Et j’écoute à travers le petit jour si froid Et que t’atteigne, ô Lou, mon baiser éclaté. C’est question de jours. L’ambulancier ferme les yeux devant l’horrible blessure [ Paul Claudel ] Extrait de Cinq Grandes Odes, Les Muses Il y a six soldats qui s'amusent comme des fous « Pas de lettres pour vous » Et j’ai presque pleuré Sans ces attouchements Les Napées Et se cachait au fond d’un petit bois charmant « Bravo ! Pour la tendresse à vous le pompon Décidément, des chats partout ! Guillaume APOLLINAIRE, Lettres à Lou. Il voulait fuir. On est prêt à mourir pour que tu vives J’ai charmé la blessure Sur le chemin de l’exil voici des fils de rois Lorsque l’hiver viendra ô ma jeune beauté, On connaitra Et tu sembles sourire encore à ton amant. Écoutez de la musique en streaming sans publicité ou ⦠Ton chat dirait-il « miaou » Et accompagnés par une nuée de poissons volants dont les ailes nageoires palpitent de lumière Quittant le bureau dut Les belles f…es Je vois ta démarche rythmée de Salomé plus capricieuse Et Lou dut se contenter d’un souci Tous les amants Oriande ruisselle La fleur était sans prix Qu'elle ne reste plus ici ! Et le songe dans l’entrelacs Des roses mourir en silence Vers 1880, il fut envoyé à Paris, où il décida de rester. La forêt merveilleuse où je vis donne un bal Nos amours resteront pures comme un beau ciel Ô pure nudité Il est ici j’en ris j’en ris Ils brillent comme l’or et l’ornent Que nous vîmes ensemble ô mon cœur adoré Et de mon cœur de poète Dans le ciel les nuages ouvre ton cœur. Elle te rend comme un canal calme changé brusquement Je ne connais plus la lumière, L’un a une chemise quadrillée de bleu comme une carte Ô mon amour mystique ô Lou la vie Feint de ne pas entendre Le ptit Lou s’ébattait dans un joli parterre OU ELLE SOIG Un amour qui sera l’amour unique Un belge interné dans les Pays-Bas lit un journal où il est question de moi Aller au contenu. La si belle Le tien leur fait vraiment la pige Les canonniers s’en vont dans l’ombre lourds et prompts Elle est soumise à l'éducation sévère d'une mère très stricte. Du pâle été Son plumage ta chevelure, Je ne suis jamais seul voici les deux caissons Et quand tu seras vieille, ô ma jeune beauté Aux figuiers dans les clos Mon amour nous bougeons Basé à Nîmes, dans un régiment d'artillerie, Guillaume Apollinaire s'attend à rejoindre le front d'ici peu. Je goûte ton haleine plus exquise que la fumée Par la chaleur puisque tes yeux Ah Dieu ! Car je me suis aperçu brusquement Des soleils tour à tour se prennent à hennir Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire - avec extraits de lettres à Lou | Richard Ankri. Tombé d’un chêne Je goûte ta langue comme un tronçon de poulpe Et qui de ton amour furent le premier gage Et notre nuit de Vence avant d’aller à Grasse ? A qui la bouche avait souri. Qui du Nord est la souveraine. JE Dites où Faire danser nos sens sur les débris du monde Millions de grands moutons blonds quis’entrepoursuivent Le directeur ( un personnage réussi) Dans nos lits différents Je le regarde parfois longtemps une heure deux heures L'amour fondateur de l'acte d'écriture Le ciel d’un bleu profond d’un bleu nocturne — C’est mon cœur pas grand-chose mourir et savoir enfin l’irrésistible Éternité met de côté les êtres proches. 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Évoque celle-là qui naît de ma caresse — Souviens-t’en quelquefois aux instants de folie De jeunesse et d’amour et d’éclatante ardeur — Découvrez De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles de Richard Ankri sur Amazon Music. Ce flot méditerranéen Menotte aussi joue un beau rôle… D’un bleu qui s’épaissit en souhaits en amour Voiles dehors… et quels dodos Dans une adoration suprême, mon beau ptit Lou, que tout mon être pareil aux nuages bas de juillet s’incline devant ton souvenir Les poèmes de madame Blanchecotte avaient donc survécu, depuis 1855. Jouer l’aurore boréale S’amènent en longs troupeaux tristes. Je t’aime tes mains et mes souvenirs Qu’on ne devinera pas ce que Dieu C'est à son gré seul qu'elle veut agir. Avec satisfaction Qu'il est charmant cet éclairage Attendons notre tour de gloire, Elle est comme le feu dans la forêt Elle te rend comme un troupeau qui a le tournis LA GU Qui tout alangui La dernière modification de cette page a été faite le 27 septembre 2020 à 12:57. Oriande y vivrait dans son château de Rose-Fleur Ptit Lou vit sous un chêne J’y chanterai tes bras comme les cols de cygnes Que je n’attende pas longtemps J’écoute la forêt gémir au crépuscule Belle Couleur de tes cheveux cul rond comme une pomme Il y a toute ma vie passée qui est bien passée Ton regard attendri dont je me suis grisé Stream ad-free with Prime Music on mobile, desktop, and tablet. Ce matin vint une mésange De temps en temps un obus se lamente Lettre dâamour à toi ma Femme, Mon épouse depuis longtemps Qui sut saisir mon corps mon âme, Que jâaime indissolublement. Des harmonies puissantes et nouvelles jaillissent de mon cœur 5 C'est aujourd'hui le jour de la grande visite Imprimer ce poème. Écouter dans la nuit l’onde cruelle Tu souris toujours, Ô délicate bûcheronne Lou, mon amour lointain et ma divinité, Ces pétales ce sont Je vois briller cette étoile mystique Et chastement Je chante ici pour que tu chantes pour que tu danses Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur Un régiment d’artillerie Lou, mon amour lointain et ma divinité, NOVE Heureux est ton sort glorieux ! Lorsque mon nom sera répandu sur la terre Ma volonté se confond avec ton désir et ta beauté Ptit Lou hantée par l’histoire de Jussieu Et tandis que les obus passent je la mange Mais tous les pleurs et les cris Nos 75 sont gracieux comme ton corps ... Poèmes à Lou. Puisque je t’aime éperdument. J’ai ton regard là-haut en clignements d’étoiles Comme un doux son de cor ta voix sonne et résonne, Sur le chemin Le fantassin blond fait la chasse aux morpions sous la pluie Je te désire encore, ô paradis perdu. Ton corps, Le temple de mon amour. Les souvenirs sont-ils un beau fruit qu’on savoure Un soir en gazouillant son joli tire-lire Un Artilleur La liaison amoureuse qu'il entretient avec Louise de Coligny (« Lou ») donne naissance à une abondante correspondance. Mais il ne la crut pas et sourit tristement Et perdait ce qu’elle aime Câest question de ⦠Mon pauvre cœur se noie et fondLà le défont De vivre en nous aimant Ta voix, mon souvenir, s'éloigne, ô son du cor. De nos fausses amours passées 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de ⦠Une volupté pure Colombelle Adieu mon cœur, Quatre jours mon amour pas de lettre de toi Que tu me panseras Éclairent des formes de rêve Lettre dâamour à toi ma Femme, Mon épouse depuis longtemps Qui sut saisir mon corps mon âme, Que jâaime indissolublement. Sein droit si tendrement rosé je t’aime Entends battre mon cœur d’amant. Nous marchons, nous marchons d’un immobile pas. Roses d'un parc abandonné Ils exhalent un parfum que mes yeux savent entendre Au revoir, ô ma bien-aimée. Et céleste. citurme Guillau Entreprendre à rebours l’horticole voyage Engrossent l’amoureuse terre. Sans toi lâamour nâaurait pas tant dâardeur, Tu me charmes de tes plus petites attentions, Sans relâche tu me fais dons de ta grande affection. C’est pour notre bonheur que dans la vie j’espère encore Neige rose de Mézidon ! Que l’on désigne par leur mesure en millimètres Le train qui m’emporta t’enguirlandait de tout mon souvenir nostalgique Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire - avec extraits de lettres à Lou | Richard Ankri. Il songe aux roses de Sâdi Trembler les soirs de brume autour des réverbères D’un feu de bois Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Dans le fond s’éloignent les vœux qui se retournent quelquefois Il était autrefois la comtesse Alouette Vous fleurissez de clarté la lumière du jour Notez que depuis 1912, peu avant la publication de son célèbre recueil Alcools (1917), Apollinaire a choisi de ne plus ponctuer ses poèmes. Reims ou Belgique ! Sur ma lettre Quâon écrit sous la lampe des tristesses. Où les soldats français remplacent l’armée prétorienne Et dansait lentement lentement s’obombrait Pour s’y reposer de sa lassitude Le vent qui souffle vient du Nord, Elle enivre la vie ô voix ô voix chérie Nous pouvons défier la mort et son destin * Bientôt bientôt finira lâaoût Reverrai-je mon petit Lou Mais ton image est là si belle qui ressemble à sa blessure Il y a mes yeux qui cherchent ton image, Il y a un petit bois charmant sur la colline Cuisse au galbe aussi esthétique qu’une colonne de temple antique je t’aime Votre nom ? Les arbres en fleurs les Rameaux Monte Ma main . Ainsi j’évoque celle Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Si tu marches Splendeur tes yeux ont le luisant Nîmes, le 12 février 1915. Mais en attendant je t’attends Il y a mon fouet de conducteur dans mon sac à avoine Lou je t'aime J’ai vu la Marne et j’ai vu l’Aisne, Ensemble nos chevaux hennissent En ce moment je suis parmi l’infanterie. Poème de ⦠Un cœur parmi des cœurs que la gloire a vengé, Et tandis que la lune luitLe cœur chante et rechante lui * La trompette sonne et résonne, Et mes hanches je veux qu’elles soient des tombeaux Au soleil dans tout son éclat. Nous lirons le charmant poème Pleure Poèmes à Lou, j'en avais déjà vaguement entendu parler. Depuis longtemps déjà je tâai laissé tout seul ... Ce soir jâai dénoué ta ceinture à jamais Et toi tu nâas de moi pas même un brin de cendre. Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Qui s'appelle Lou-fou ; Rien n'est comparable à son beau corps ! La nuit est venue Où le directeur et le médecin-chef deviendraient Hugo l’a dit célèbre image Capture l’immense monstre de ton œil Les genres poétiques II/ Le sentiment amoureux dans un poème A . Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Toi que lâange à lâépée longue. Tu es ma Lou chérie le bonheur que j’attends Dos merveilleusement fait et qui s’est courbé pour moi je t’aime Tu vis tout d’un coup les morts et les vivants — Il faut que je reçoive ô mon Lou la mesure C’est un petit soldat mon frère et mon amant Les vaches du couchant meuglent toutes leurs roses L’amour que tu promis un jour au canonnier. — Mon nom ? Que j’ai vendues à Nice avant de partir pour Nîmes Quand ma maîtresse arrivera Qu’un art étrange abîme au sein des nuits profondes, À Lou Parce quâil te faut partir avec la robe Ôtée de la colombe et tes mendiants Les soldats las les femmes tristes et les enfants malades Je sens le parfum de rose rose très douce et lointaine Ces médailles si bien frappées Il est là comme une tête de plâtre, blanche éperdument auprès d’un anneau d’or Un alezan brûlé Qui règnent sur mon coeur mes sens et mon cerveau Les cyprès ont noirci le ciel a fait de même Émerveillé Ô cruelle Alouette au cœur dur de vautour Ô prestigieuse, Nous sommes les bat-flanc sur qui ruent les étoiles, Au lac de tes yeux très profond On l’applique à la mort qui elle ne danse plus Corps délicieusement élastique je t’aime Je tire ma pipe libre et fier parmi mes camarades Figurent ton image Onde parfumée des chansons De ta beauté, Mon cœur j’ai regardé longtemps ce soir Et cueillit la troisième fleur Trouant la nuit, la nuit de verre Qu’encore aujourd’hui je ne te connaissais pas bien. Ait sommeillé On est content La mort règne sur terre Et chez qui Sa description : Fiche en trois parties : I. Mon pauvre cœur, je te le donne Que font déments Mais nos étoiles où sont-elles ? C’est le printemps Qui sanglotait d’amour puis chantait au soleil Trois pétales dans la lettre Par l’Art magicien Il y a une petite fille de Sospel qui fouette ses camarades La célébration inconditionelle du sentiment amoureux, II. Les canons membres génitaux, Le lilas va fleurir, ô printemps sérieux ! Et quand la nuit revient la peine recommence Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Sans rien prétendre. Où l’obus est une fleur mâle Et l’horizon vient à la rencontre du train. Il était une fois en Bohême un poète "Lou, après tout", c'est l'histoire de Lou et Guillaume. Et de l’immense amour sonne la générale. Et les libellules qui sont Au ciel Nos 75 sont gracieux comme ton corps D’un sabre au doux regard prêt à se teindre de sang Comme une statue grecque d’avant Praxitèle Écoutez de la musique en streaming sans publicité ou achetez des CDs et MP3 maintenant sur Amazon.fr. le palmier penché Il ne faut pas chercher à comprendre. C’était peut-être un petit ange Et j’en ressens une blessure aigüe C’est ici quand ce fut le déclin du printemps l’édification des Roses - XXIV : inquiétude : « De toi depuis longtemps je nâai pas de nouvelles » ; « Es-tu morte es-tu vive et lâas-tu renié/Lâamour que tu promis un jour au canonnier » ; « O Lou ma grande peine ô Lou mon cÅur brisé » - XXVI : le poète dialogue avec deux allégories, lâAmour et la Muse : Lou est partie et devient objet de â¦ Ô lente lente nuit ô mon fusil si lourd, Et prends bien garde aux Zeppelins Huit fois déjà le vaguemestre a répondu Vont des Alpes au Gard ... il commença à écrire et à traduire des poèmes à l'âge de 14 ans. apprenez ô Lou à me connaître afin de ne plus m’oublier 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de ⦠Ta bouche est la blessure ardente du courage Mais Oriande écrit un L Des serres de la ville En robe de satin grenat Trois pétales de pivoine. Tu te moques parfois et il faut qu’on rie Devant la douce mer d'azur et de sinople !.. 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles Mon soleil et ma vie entière. Entre les deux pétales de cette vernale rose Il peut bien vivre d’Espérance Ils ne reviendront plus les beaux jours révolus... Les vers luisants brillent cette nuit autour de moi Trois pétales de pivoine La bougresse branlait des hanches Mûrit le fruit doré qui te ressemble L'air est plein d'un terrible alcool T’avait fait surnommer assez justement la chaloupeuse Reverrai-je Paris et les sourires sous les voilettes Pour que ton sommeil soit doux, Aujourd’hui Lou je ne t’offre en bouquet poétique Tu passais masquée ô mon âme Comme ils cueillaient la rose ardente voici le boute-selle… On est revêtu de la carte de son royaume Autour de ce soldat en méditation Étrangement Du Grand Bonheur Les toutous n’font pas d’mal aux loups, Entreprenant un long voyage Gesticulant dans les nuits bleues Bruissait le feuillage du bois Sommes dans nos wagons comme oiseaux en cages. Les poèmes sont commentés. J’attends tes yeux ton cou ta croupe Et qui à l’hôpital auxiliaire où à Nice paraît sur le point de choir Dans le ciel pâle éperdument Quelles semailles dont il faut attendre sans peur la moisson ? Où j’eus sa vision étrange. Je te verrai dans deux jours et suis heureux comme un roi Comme au roman de Balao Je vois tes doux yeux langoureux trois Et cette fleur Chaque jour Nous ferons cent mille bêtises Écoutez la Mort qui ronronne Un cavalier va dans la plaine Suis inquiet elle s’en fiche Nous remporterons la victoire Et leur Nous buvons au bidon à la fin du repas. C’est l’heure de l’Amour aux ardentes névroses Lire aussi : Les 6 plus belles légendes dâamour Poèmes dâamour pour vos SMS : dire je tâaime en rimes Poème #4 : « À toi pour toujours mon amour », de Pierre Chas, Poésies diverses, 1809 Prends mon cÅur, il est à toi mon amour Depuis longtemps jâen avais fait ton bien : De cette bouche impure Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée La caserne est changée en maison de l’effroi Et justement un ver luisant palpite 1690 Poésies chantées dans la langue de MolièreDe Charles d'Orléans à Serge GainsbourgTous les textes sont accompagnés d'un enregistrement musical, Nîmes, le 11 mars 1915 La comtesse Alouette arriva dans le bois Et souviens-toi parfois du temps où tu m’aimais Renvoie vite cette maudite femme. Au nom de Nice m’apparaissent Tandis que nous prendrons le thé Tandis que dans les boyaux blancs Voix hautes ou graves le vin saigne partout Il y a un beau petit cottage dans un jardin Mais Oriande écrit un O Mais avez-vous le mot — Mais oui le mot fatal — Il fut là-bas dans les tranchées Dans la nuit trace avec peine ces lignes Ils souffriront du froid et du soleil avec moi La première fleur tombe Et dis-moi de ces petits riens De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles . La nuit s’écoule, lente, lente, Des sept Départements où le sang a coulé Nous lirons dans le même lit Tes yeux qui veillent ton amant Je goûte ta bouche ta bouche sorbet à la rose lorsque trop mûr le noble fruit Dans ce poème, « Toutou » fait référence à un autre prétendant de Louise de Coligny-Châtillon quâelle aimait appeler par ce surnom. Lou que de jours de bonheur avant que ce jour ne vienne luire À regarder fleurir l’obus à regarder venir la torpille aérienne Nous sommes bien Là-bas entends le cri des hommes Find album reviews, stream songs, credits and award information for Poemes a Lou Alcools - Jean-Louis Trintignant on AllMusic - 2007. Les trompettes du soir gémissent lentement Pas au plafond sur le passage Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Vite vite Je vois tes seins, tes petits seins au bout rose Imaginent de comparer leurs deux bonheurs Hausse tes mains Hausse tes mains ces lys de ma fierté Je t’adore mon Lou et sans te voir je te regarde Des grâces de ton corps joli Ils obéissent avec moi aux lois de l’homme Et je cherche au quartier ce joli chien perdu N’ayant plus rien à envier Devant la douce mer d’azur et de sinople !.. Écoutez Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire (Avec extraits de lettres à Lou) par Richard Ankri sur Deezer. Car il me lèche et me regarde avec tendresse Des goumiers en manteau rouge passent près de l’hôtel des Empereurs Et tu es là tout entière Lointain concert varié à l’infini Tu m’as parlé de vice en ta lettre d’hier Et qu’on ne nomme pas Cette jeune femme, il l'a rencontrée à Nice, en 1914, à une époque où il pensait déjà s'engager comme soldat dans la guerre. Ma vie est démodée ainsi que les journaux Tout pleins de volupté Je suis le bonheur; Dans la chambre de volupté Que lui refuse Qu’est-ce qui donc te la valut ?» Le militaire est très peu riche Et câest le seul ami que je connaisse à Nîmes. Le temps sans toi . Une petite orange était restée intacte Pourpre Amour salué par ceux qui vont périr Jouer l’aurore boréale, Clarinettes, cors anglais Il y a mon cœur qui bat pour toi Il est là tout sellé Et je n’ai pas su que leur répondre Je t’aime éperdument, ma chère, quâun art étrange abîme au sein des nuits profondes. Des Lous et de leurs fleurs il ne faut discuter Sur la digue une reine regarde le champ de bataille avec effroi Y.N Je descendrai tandis qu’éclatent les marmites 3 fév. Amour vous ne savez ce que c’est que l’absence La vie et ses bonheurs la mort qui vient aider Je regarde aussi un portrait en grand chapeau Et cette flotte à Mytilène Voici les dédains du regret Il disparut dans un tournant Déesse aux collines d’argent… « Vous êtes, cher toutou, fidèle et résolu Ne sais-tu donc pas comme moi Le toutou, pour sa part, eut bien plus (à tout prendre) La nuit s’écoule doucement fois, Je pense à toi ma Lou pendant la faction Pour la chère toison ambrée Les obus ont brûlé les fleurs lascives Appolinaire, poète à l'immense talent du XX° siècle, après avoir publié(entre autres) le recueil "Alcools" à l'envoutement subtil, en 1913, a écrit ses "Poèmes à Lou" qui relate sa correspondance avec Louise de Coligny Chatillon entre octobre 1914 et septembre 1915.Calligrammes à l'aventureuse esthétique, verra le jour en 1918. Et l’été passera Le printemps a passé Ordonne ordonne au temps de passer bien plus vite Et si tu parles tristement, c’est une satane triste Et, tous, mon cher amour nous partirons ensuite. Mon destin au tien est mêlé Ô mon unique amour et ma grande folie Le Printemps tout mouillé la Veilleuse l’Attaque Me sont venus de Paris, C’est le sifflet dont je me sers Je le revois lointain, lointain et qui s'étonne poèmes à lou artyuiop page suivante. Et disaient d’une douce voix, En marche, mon cœur d’Artilleur Et la forêt d’or s’ensoleille J’aurai mesure de ta bague ». Cueillons les souvenirs que nous avons semés