Modérateur: Aucun Utilisateurs parcourant actuellement ce forum : Aucun Le royaume de France médiéval Index du Forum-> Le Royaume de France-> Les Comtés & les Comtes.-> Les Comtés-> Le Comté d'Albon. Statut : Classé Monument Historique en 1982. Les comtes d'Albon ont à Briançon un châtelain en 1063, et un tribunal en 1096[24]. L'épouse du comte, Mathilde approuva, puis ses fils Guigues IV et Humbert futur évêque du Puy avant 1125, puis archevêque de Vienne en 1146[37]. XIIIe siècle : les comtes d'Albon, dauphins de Viennois, délaissent lentement le site originel. Celle du comte Humbert aux Blanches Mains après 1030 en Maurienne[10] en partie du fait de la fidélité à l'Empereur Conrad et d'un serment de paix prêté aux autorités ecclésiastiques viennoises vers 1036 [11]. qui va gagner ? Dans les actes du Regeste Dauphinois (1913), les membres de la Maison d'Albon sont déjà implantés vers Grenoble en 996 : Guigues l' Ancien ou Guigues I[1] est cité comte de Graisivaudan avec son épouse Frédeburge et Humbert évêque de Grenoble, leur fils[19]. Une tour en ruines qui concentre tant d’Histoire… Au sommet d’une motte, elle rappelle de façon symbolique le pouvoir des comtes d’Albon, qui furent à l’origine de la principauté du Dauphinois. En 1058, il acquiert des territoires au Monêtier de-Briançon[21] et à Oulx[22] afin de relier des territoires rhodaniens au fief Alpin en maîtrisant les régions intermédiaires, et de favoriser la circulation par le Mont-Genèvre qui restait l'axe principal avec le col du Grand-Saint-Bernard au XIe siècle, comme le comte Humbert avait privilégié la Maurienne et le Mont-Cenis vers le val de Suse qui redeviendra un des axes principaux de passage vers l'Italie le siècle suivant[23]. Décède prématurément d'une chute de cheval et le Dauphiné revient à sa sœur Anne, dite aussi Anne de Viennois, et à son époux, Humbert de la Tour du Pin, qui devient dès lors, Il était fils d'Albert III, baron de la Tour-du-Pin, et de Béatrice de Coligny. Le territoire de La Buissière depuis au moins le XIème siècle, avait peut-être été usurpée comme d'autres à l'évêché de Grenoble suite aux compromissions de l'évêque Mallein avec Guigues Ier vers 1050. Il affranchit de tout servage les familles des chanoines et donna en outre à l'église de Grenoble la condamine de Corbonne (riviere affluente à 9 km au Nord-Est de Grenoble[36]). Guigues Ier d'Albon dit le Vieux, né vers 995-1000 et mort entre le 22 avril 1060-1075 à Cluny, est comte en Oisans, Grésivaudan (vallée de l' Isère) et en Briançonnais, ainsi que dans la vallée d’ Oulx en Piémont. La dernière modification de cette page a été faite le 7 septembre 2020 à 13:21. Elle prit le titre de comte au XIe siècle et fut à l'origine de la constitution du Dauphiné comme principauté territoriale. Selon Nicolas Payraud, la châtellenie de plaine de Moras, l'une des plus anciennes possessions des comtes d'Albon, est un véritable grenier à blé du futur Dauphiné. À l'intérieur de la basse-cour, un complexe palatial comprenant un vaste bâtiment à étages construit en pierre à usage résidentiel (camera) datant des XIe – XIIe siècle est accolé une salle d'apparat (aula)[16],[17],[18]. D'après Laurent Ripart, des diplômes des derniers rois carolingiens à partir de 878 sous Louis le Bègue et des Chartes allant de 902 à 976, considèrent tous que le pays de Sermorens, désormais qualifié de pagus et non plus de comitatus, se trouvait situé dans la dépendance du pagus de Grenoble[13]. Cette petite boucle rayonne autour de la Tour d'Albon. Après 1050 sont décrites des Châtellenies en Grésivaudan en particulier à Vizille et en Briançonnais jusqu'à Oulx et des droits sur des communes en piémontais. Comte d’Albon (partie de l'ancien comté de Vienne) en 1101. Si l'installation en Grésivaudan (l'ancien Pagus Gratianopolitanus) fut le premier objectif avant l'an Mil, l'arrivée d'Hugues de Châteauneuf comme évêque de Grenoble en 1080, canonisé deux après sa mort en 1132 en Saint-Hugues entraîna une longue rivalité avec l'archevêque de Vienne Guy de Bourgogne, devenu ensuite le pape Calixte II (1119-1124). Le 29 janvier 1107, alors qu’il résidait à Lyon, le pape Pascal II parvint, avec le conseil de plusieurs des évêques de la région et celui du comte d’Albon, à faire accepter aux protagonistes les termes d’un règlement du conflit. À son décès en 1032, le pouvoir est ecclésiastique, au sein de Saint-Empire romain germanique, et les archevêques de Vienne Burchard puis Léger permirent sans inféodation véritable[8],[9] l'extension concomitante comtale sous les règnes de Conrad II et de son fils Henri III. Le titre de comte d'Albon est porté en 1079 à la fin de sa vie par son fils Guigues II et sur son épitaphe dans le cloître du monastère de Saint-Robert de Cornillon qu'il avait créé à Saint-Égrève[28],[49]. Il est reconnu dans ses droits par l'empereur, Dauphin de Viennois, comte d'Albon, de Vienne, de Grenoble, d'Oisans, de Briançon et d'Embrun de 1269 à 1282. 104 relations. Le comté d'Auvergne est l'une des plus anciennes seigneuries de France, puisqu'elle a déjà été érigée à la fin de la période romaine. Maximus des Comtes d'Albon tenait à faire passer un message à ses soeurs pour leur 4ème anniversaire, depuis les États-unis, où il a élu domicile : Maximus would like to wish his sisters a Happy 4th Birthday! On voit cette transformation politique à travers les différentes parties du château : l'agrandissement de la chapelle castrale (lettre A sur le plan du château), mais aussi la construction d'une grande salle de réception (ou aula en latin), de quartiers privés ou la camera (chambre en latin) (lettre C sur le plan). Une promenée au temps des comtes d'Albon 1 photo(s) Crédit : Dimitri Sanial. Le village est considéré comme le berceau du Dauphiné. Voir aussi Articles connexes. Guigues Ier d'Albon est cité comme fils de Gotelène avec son neveu Humbert dans une charte de Cluny datée de 1070 [25]et décède vers le 22 avril 1275 comme comte de Graisivaudan[26]. Le principal sujet de discorde était le comté de Sermorens. Ce partage ne se fit pas sur le dénombrement des églises mais sur les « castra » et « mandamenda ». Est témoin sa mère Mathilde[39]. Le comté d'Albon, ou comté d'Albon-Viennois, est un fief issu du comté de Vienne, lui-même intégré au royaume de Bourgogne et d'Arles qui appartient au Saint-Empire romain dès 1032 à la mort de Rodolphe III de Bourgogne. Ce prénom, Dauphin (Delphinus en latin) est vraisemblablement issu (recherches de Georges de Manteyer à la fin du XIXe siècle) d'un "surnom de baptême" donné à l'un des enfants de la dynastie d'Albon au début du XIe siècle. 07/10/2019 . Il est cité comte d'Albon et décède vers 1079[28]. Outre le Briançonnais, Guigues le Vieux, comte d'Albon, détient à cette époque, au-delà du Montgenèvre et un peu avant Suse, une partie de la vallée du Cluson avec des droits sur Césane, Salbertrand et Exilles. Il est inhumé dans les cloîtres de la Cathédrale de Grenoble. 1231 : Comes Ailbonis (cartulaire de Léoncel, 108). Son règne est marqué par la lutte continuelle qu'il livre au nouvel évêque de Grenoble, Saint Hugues de Châteauneuf, pour la suzeraineté des biens d'église qu'il détient, notamment en Grésivaudan. En 1107, le Sermorens est divisé par le pape Pascal II avec 22 châteaux répartis selon les Châtellenies locales dominées par les comtes de Savoie et la Maison d'Albon. Le mari de Béatrice, Guigue VII, prend l'entière possession du Faucigny ainsi que des châteaux dans le Chablais que possède son beau-père, comte de Savoie[2]. le Comté d'Albon, futur Dauphiné, à Guigues III; le Comté de Maurienne, future Savoie, à Humbert aux Blanches mains. L’archevêque de Vienne Léger joue un rôle particulièrement important dans ce processus, puisqu’il parvient à réunir l’ensemble de l’aristocratie régionale, aussi bien laïque qu’ecclésiastique, dans les conciles de paix qu’il tient à Vienne en 1036 et à Romans en 1037[10],[47]. En 1009, les futurs comtes d'Albon possèdent déjà la partie occidentale de ce domaine, autour d'Albon, qui s'étend jusqu'à Anneyron et est probablement la villa Epaonis citée en 890. Les comtes d’Albon puis dauphins de Viennois, seigneurs du Dauphiné de Viennois, furent les premiers à porter le titre de dauphins de Viennois. Les Dauphins gardent le Faucigny jusqu'à sa vente, en 1348, au roi de France. Il épouse Mathilde dite reine d'origine potentielle anglaise ou italienne, Fils de Guigues III d'Albon et de Mathilde. Leurs fils Guigues Dauphin (Delfinus) et Humbert approuvent[2]. Vous êtes ici : Accueil > École publique Louise Michel > ARCHIVES des années précédentes > Archives 2015-2016 > CE2 Laurence et Cyprien > Spectacle "Conte and soul" CE2 CM1 et CM2. Pour les comtes d'Albon D'or au dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules. Humbert II fut le dernier des Dauphins. En revanche la charte de 1034, dans laquelle il est simplement qualifié d'illustrissimus vir (Cartulaires de l’église cathédrale de Grenoble), donne en fait le titre comtal des Guigonides[10] qui reste à son décès, vers le 22 avril 1075, celui comme son ancêtre de comte en Grésivaudan[48]. Les Comtes d'Albon Vers 1029-30, l'archevêque Brochard, ayant reçu de la Reine de Bourgogne le comté de Vienne, en inféode le Sud à Guigues, premier Comte d'Albon. Le comté est appelé Comitatus Albionensis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À cette époque sont construits le Prévôté de Saint Laurent d'Oulx, ainsi que des prieurés dans le val Cluson et en Oisans. XVIe siècle : le site est abandonné définitivement. Marquez tous les sujets comme lus Christian Guilleré, Jean-Michel Poisson, Laurent Ripart et Cyrille Ducourthial. Laurent Ripart sous la Direction de Florent Mazel. Il est mortellement blessé[45] en 1142 à La Buissière[3]en faisant le siège du château de Montmélian par une contre-attaque de l'armée d'Amédée III de Savoie, son beau-frère. L'archevêque de Vienne ayant refusé d'obéir à la décision du concile de Plaisance, il a restitué cet archidiaconé à Hugues; tant que Guy refusera de se soumettre à cette décision, l'église de Grenoble sera soustraite à son obédience [31]. Arrivé là, il a convoqué Étienne, archevêque de Vienne, et les évêques Humbert du Puy, Eustache de Valence, Hugues de Grenoble. Son règne est marqué par la lutte continuelle qu'il livre au nouvel évêque de Grenoble, Saint Hugues de Châteauneuf, pour la suzeraineté des biens d'église qu'il détient, notamment en Grésivaudan. Implantation en Graisivaudan et sur les terres d'Albon, La division et la disparition du comté de Sermorens, L'apparition de la dénomination de Dauphin, Les guerres de Guigues Dauphin et la soumission à l'autorité ecclésiastique viennoise, Diocèses et archidiocèses ayant leur siège au Comté d'Albon-Viennois, Foundation for Medieval Genealogy-Medieval Lands. Le parcours vous invite à découvrir les paysages et la botanique autour du site castral d'Albon où vous sera contée l'histoire des Comtes d'Albon via des panneaux ludiques et informatifs. Avant 1125, Le comte Guigues III, fils de Pétronille, donne et confirme au prévôt et aux chanoines de l'église de Saint-Laurent d'Oulx les dîmes et oblations qu'il avait dans leur église et dans ses dépendances. Mais le comte Guigues, dauphin, s'est emparé violemment de leur ville et l'a cruellement dévastée. Il épouse avant le 22 avril 1253 Béatrice de Faucigny ou de Savoie (1234/1237 † 1310), d'où Jean Ier. 0 0::D/A:: Du parking de la mairie, prendre à droite et passer sous une demi-arche, puis continuer en face. Ce sont des nouveaux castrum qu'investissent les premiers comtes du comté d'Albon depuis le château d'Albon, au XIe siècle, installant sur la colline une motte, construite sur un éperon naturel, par la suite emmotté et surélevé lors de la constitution de la plate-forme artificielle. Les parties se donnèrent le baiser de paix. D'après Georges de Manteyer, la succession des Guigues provient de la localité de Vion au IXe siècle, précédée elle-même d'une série de Rostaing[4], l'un de ces Rostaing, cède deux églises du Viennois à Archambaud, comte de Vienne en 844[5].Un premier comte en Viennois Guigues (Wigo) Ier de Vion, comte de Vion, à l'origine des comtes d'Albon[6], à Vienne, en août 912, donne à l'église dédiée au Saint-Sauveur et à Saint-Maurice, dont Alexandre est archevêque, pour une messe quotidienne, un manse avec courtil, vigne et champs situés à Estressin. Le prieuré Saint-Robert, fut construit à Saint-Égrève en 1070 sous Guigues II, par des moines, sous la dépendance de l’abbaye bénédictine de la Chaise-Dieu en Haute Loire. le pape Innocent II l'a envoyé pour corriger ces excès. Celle des comtes d'Albon, par l'usage de la force et par d'habiles alliances matrimoniales qui accrurent sensiblement leur territoire : Guigues Ier d'Albon (appelé aussi Guigues le Vieux) s'instituant prince de la province de Grenoble avec son fils Guigues II (le Gras) en 1052, qui, pour la rémission de ses méfaits, donne au monastère de St-Pierre hors les murs de Vienne et à l'église de Vienne, ensuite se fit moine[12]. Au XIIe siècle, après 1142, les comtes d'Albon prirent le titre de dauphins de Viennois et le comté d'Albon prit de nom de Dauphiné de Viennois. La famille des Comtes d'Auvergne gouverne le comté depuis le Xe siècle. Il fut un réformateur aimé. Ces actes sont les premiers véritables témoignages d'allégeance au pouvoir clérical viennois hormis la donation de Guigues Ier en 1052. Contrairement au comté de Vienne, le comté d'Albon ou d'Albon-Viennois est resté dans l'Empire jusqu'en 1349 (date à laquelle il a été intégré au royaume de France ). Hugues se plaignait des dévastations commises par le comte dans la châtellenie de Montbonnot sur un sol commun. Site castral de la tour d’Albon en Drôme des collines sur la commune d’Albon. Présentation des résultats des recherches historiques et archéologiques relatives aux fortifications médiévales du site de la tour d'Albon. Les Bullmastiffs des Comtes d'Albon, Arnac-Pompadour. Châtellenies tenues en nom propre ou en fief des comtes d'Albon, puis dauphins de Viennois, Nicolas Carrier, Matthieu de La Corbière (, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Liste_des_comtes_d%27Albon_puis_dauphins_de_Viennois&oldid=173788504, Portail:Auvergne-Rhône-Alpes/Articles liés, Portail:Provence-Alpes-Côte d'Azur/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Fils d'un Guigues d'Albon et d'une Gotelène. Le comté d'Albon, ou comté d'Albon-Viennois, est un fief issu du comté de Vienne, lui-même intégré au royaume de Bourgogne et d'Arles qui appartient au Saint-Empire romain dès 1032 à la mort de Rodolphe III de Bourgogne. Principal intérêt : L'exhumation des vestiges d'un bâtiment résidentiel a transformé la perception de ce site perdu dans un paysage grandiose. En mars 1106, Guillaume de Domène se donne à Dieu le jour de la fête de Saint-Benoît, dont il prend l'habit, et fait don au monastère de Domène de plusieurs redevances, y compris des terres qui furent la dot de sa mère. Il épouse Mathilde dite reine d'origine potentielle anglaise ou italienne Le comté d'Albon, ou comté d'Albon-Viennois, est un fief du comté de Vienne, lui-même intégré royaume de Bourgogne et d'Arles qui appartient théoriquement au Saint-Empire romain. Premier à porter le surnom de, Au cours de son règne, il prit le titre de dauphin du Viennois. Son fils Guigues IV est dénommé dauphin dès 1110, puis comte dauphin en 1131, et également comte d'Albon de 1134 jusqu'à son décès en 1142. Guigues IV, comte d'Albon et du Grésivaudan, prit vers 1134 le titre de Dauphin de Viennois, qui se … Si le comté de Vienne issu du Pagus Viennensis (dit Viennois) était une subdivision territoriale carolingienne dirigée par un comte, dépendant directement du palais, au sein de la Bourgogne viennoise ou Cisjurane , à partir de l'an Mil, l'exemple du Sermorens, défini en 885 comme un pagus à part entière (in pago vero Salmoriacensi : Cartulaires de l’église cathédrale de Grenoble, 885), fournit un exemple comparable, puisque la documentation du début du XIe siècle hésitait beaucoup sur sa définition, utilisant tour à tour les qualificatifs de pagus, de comitatus, d’ager, de territorium, voire de villa[13]. Encore en 1027, Guigues Ier d'Albon ne porte pas le titre de comte[10],[47]. Monter les escaliers pour sortir du parc et atteindre la route. Bienvenue sur le site archéologique du château d’Albon ! 1191 : Comitissa Albonii (doc. Après 1128, Guigues IV dauphin, son épouse et son frère Humbert, évêque du Puy, confirment la donation du comte Guigues à l'abbaye de Bonnevaux et le pré qu'il avait donné en Valloire. Sa mère était elle-même fille d'Hugues. Issu de la Maison d'Albon, il est l'un des ancêtres des futurs dauphins de Viennois. Durant l'ère mérovingienne, il devient même momentanément un duché. Les Bullmastiffs des Comtes d'Albon . Comté d'Albon; Dauphiné de Viennois; Liens externes. Les bullmastiffs des comtes d'Albon est un élevage familiale situé à Arnac-Pompadour. Il épouse Mathilde dite reine d'origine potentielle anglaise ou italienne Guigues V, sur le site de l'Atelier des Dauphins (en) Charles Cawley, « Comtes d'Albon », sur fmg.ac/MedLands (Foundation for Medieval Genealogy) (consulté en avril 2020). 22/09/2019 . Le Comté d'Albon. À l’époque, les comtes d’Albon ne résident déjà plus sur place. Souscrivent le comte Boson, le vicomte Ratburne[7].Ces actes témoignent d'une implantation nobiliaire viennoise originelle de la famille des futurs comtes d'Albon. La terre de Moras, propriété patrimoniale de ceux-ci dès le début du XIe siècle, appartient ainsi au noyau originel du Dauphiné[14]. Les Bullmastiffs des comtes d'Albon est 1 éleveur de Bullmastiff basé à Arnac Pompadour (19230) en Corrèze. 22/09/2019 . Les comtes d’Albon puis dauphins de Viennois, seigneurs du Dauphiné de Viennois, furent les premiers à porter le titre de dauphins de Viennois. Propriété de la commune. Son règne est marqué par la lutte continuelle qu'il livre au nouvel évêque de Grenoble, Saint Hugues de Châteauneuf, pour la suzeraineté des biens d'église qu'il détient, notamment en Grésivaudan. Cet état de fait persiste jusqu'au 24 avril 1011, date à laquelle le roi de Bourgogne Rodolphe III rédige à Aix, un acte (Douaire) en faveur de son épouse, la reine Ermengarde qui reçoit ainsi plusieurs terres dont les comtés de Sermorens et de Vienne[29]. Religieux de Cluny 1075 Le 05 septembre 1116 est signé un traité entre Hugues, évêque de Grenoble, et le comte Guigues III. Écoles d’Albon. dont descendent les Dauphins de Viennois, les comtes de Forest, les seigneurs de Beaujeu. En 1023, le comté de Vienne fut concédé à l'archevêque de Vienne par Rodolphe III de Bourgogne. L'extension d'influence des comtes d'Albon dans la région correspond à celle de la Prévôté de Saint Laurent d'Oulx fondée vers 1050, puis dotée de nombreux prieurés dans la vallée du Cluson, en Briançonnais et en Oisans. Centre national de la recherche scientifique, France. Selon Laurent Ripart, après avoir supprimé toutes les charges comtales, les Rodolphiens ont confié les pouvoirs publics aux seuls évêques et aux abbés à la fin du Xe siècle, le pouvoir ottonien multiplie ensuite les ingérences dans le royaume de Bourgogne. Dès les origines, cette abbaye se voit octroyer par les comtes d'importants privilèges[24]. 1215 : Comes Viennensis et Albeonensis (doc. Son édification remonte au XIIIe siècle. Vers le 15 juillet 1099, Hugues, évêque de Grenoble, de retour d'Italie tient un synode dans l'église de Saint-Vincent, le comte Guigues III vient, en présence du prélat et de tout le clergé, et fait abandon des églises, cens, dimes et droits ecclésiastiques qu'il détenait[34]. La dernière modification de cette page a été faite le 13 août 2020 à 13:12. La maison d'Albon, ou Guigonides, est une grande famille féodale du comté de Vienne, dans le Dauphiné. Le paysage politique de la vallée reste encore très morcelé : aucun mandement ne relève entièrement des comtes d’Albon, mais cette situation ne va pas durer : les nouveaux comtes, issus de la famille de Bourgogne, n’auront de cesse d’étendre leur emprise sur la riche vallée au cours du XIIIe siècle. Cet acte est corroboré par le comte Guigues III et son épouse la Reine, originaire d'Angleterre (quæ fuit de Anglia[1]), pour le repos de sa mère, qui est ensevelie là[35]. Selon Georges de Manteyer comme pour Laurent Ripart, si un acte du 27 février 1016 porte, parmi les souscriptions, la signature d'un comte Guigues, cette signature n'a pu être apposée que plus tard, ce Guigues est indiqué comme étant le frère d'un Humbert, en l'occurrence l'évêque Humbert, arrivé à l'évêché de Valence après 1025. 1 talking about this. En octobre 1110 apparaît le nom de dauphin pour le fils de Guigues III, dans l'acte : Guigues le Comte et son épouse la reine Mathilde (Regina nom. Vers 1098, le Comte d'Albon Guigues VII prend le titre de Dauphin, qui est un ancien prénom (Delfinus); 3 familles se succèderont à la tête du Dauphiné, la première étant la Maison d'Albon, de 1029 à 1162. Cette petite boucle rayonne autour de la Tour d'Albon. Un certain nombre de futurs conflits entre les deux voisins ont pour objet ces terres jusqu'au milieu du XIVe siècle. Fils aîné de Jean II et de Béatrice de Hongrie. Il apparaît ainsi difficile de délimiter les contours du comté d'Albon à sa naissance en 1032, tout au plus peut-on suivre l'historique des possessions de ces comtes qui vont progressivement créer des territoires comtaux aboutissant au Dauphiné de Viennois. Liste non exhaustive des titres et possessions que portèrent les dauphins de Viennois suivant les périodes : Les Dauphins incorporèrent à leur domaine, à la suite du mariage en 1253 de Guigues VII de Viennois, baron de Faucigny par son mariage avec Béatrice de Faucigny qui resta aux affaires jusqu'en 1304, les baronnies de Faucigny, de Beaufort et plusieurs autres châtellenies ; des terres éloignées du Dauphiné et menaçantes pour la Savoie. Suivent trois actes de la même année qui montrent la prise de conscience de hauts dignitaires du risque de conflit et ramènent rapidement la paix à Romans et à Vienne : Lettre de Hugues d'Amiens, archevêque de Rouen et légat du Siège apostolique, au clergé et au peuple de Romans. Les bullmastiffs des comtes d'Albon est un élevage familiale situé à Corbelin. La référence à la villa, citée en seconde position, semble trahir l'élaboration, sinon d'une forme de hiérarchie, du moins d'un centre d'intérêt différent, prenant en référence le castrum des Guards à Nyons au XIIe siècle au détriment de la villae [15].Les Xe – XIIe siècles sont l'époque de la "révolution castrale" : de 1020 à 1120, Henri Falque-Vert recense l'apparition de 101 nouveaux châteaux dans le territoire dauphinois[14]. La tour d'Albon, située dans le nord du département de la Drôme, est le vestige du château des comtes d'Albon. Érigé au XIII e siècle sur un territoire qui allait devenir le Dauphiné, le château fort a permis de consolider le pouvoir des comtes.En effet, sa situation en hauteur leur permettait d'avoir une vue dégagée sur la vallée. Le village est considéré comme le berceau du Dauphiné. Guigues restitua les églises et leurs cimetières, dotations et dimes et rendit la liberté aux clercs de Grenoble et de Saint-Donat. Le comte dauphin s'est rendu à leur appel, s'est humilié et a promis satisfaction du sacrilège commis par lui, on l'a absous[42].Suivent dans les actes suivants l'intervention d'Amédée Ier, comte de Genève partant sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle avec le comte d'Albon[43], et de Bernard de Clairvaux, intercédant en faveur du jeune dauphin[44]. Ses successeurs seront comtes d'Albon et dauphins de Viennois. Le texte de l’accord interdisait à l’archevêque de Vienne d’intervenir au-delà du cours de la Bourne jusqu’à sa confluence avec l’Isère[33]. Comtes d' Albon . Guigues Ier d'Albon marié avec Adalsendis ou Adelaïde de 1035 à 1052[1],[12], s'implante solidement dans ses nouveaux domaines et les étend. Les premières implantations historiques sont centrées sur la région du Graisivaudan, et les comtes d'Albon seront enterrés dans ce comté, de Guigues II au monastère de Saint-Robert de Cornillon, à Guigues IV puis au dauphin Guigues V en 1162 dans les cloîtres de la Cathédrale de Grenoble. En 1070, le comte Guigues II donne à sa fiancée Inès de Barcelone, le château d'Albon, de Moras, de Vals, la villa de Saint-Donat avec son territoire et tous ses alleux à l'exception de Clérieu, Serves et Chevrières; il lui attribue en outre en Graisivaudan, Cornillon-en-Trièves, Varces et Oriol, le château de Briançon[27]. inédit, 30). Selon Gérard Giordanengo, Professeur à l'École nationale des chartes, Guigues Ier d'Albon (995/1000-22 avril 1074/75), décédé à Cluny[1], sire de Vion (Ardèche), village sur la rive droite du Rhône, comte d'Albon est la tige des futurs dauphins de Viennois[8]. Longtemps, la tour juchée sur sa motte de terre, fut le seul vestige visible de la puissance des comtes d’Albon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comte d’Albon (partie de l'ancien comté de Vienne) en 1101. Stimulé par les lettres apostoliques , le comte Guigues se rend auprès de l'archevêque de Vienne et obtient de lui, par menaces et par prières, la restitution du pagus de Sermorens à l'église de Grenoble[32]. Accueil; Informations générales; École publique Louise Michel. Les paroisses de la Valloire dépendent au Moyen Âge du diocèse de Vienne[14]. À cette annonce. 366 likes. D'après Nicolas Payraud citant Isabelle Cartron, les premières implantations dès 1009 au château de Moras, villa voisine de Mantaille et d'Albon sont issues de la décomposition d'un ancien domaine fiscal carolingien des Bosonides, sur lequel l'archevêque aurait hérité de l'autorité impériale. ::1:: Passer sous la porte d’entrée du parcours pour rentrer dans le parc. Originaire du bourg d'Albon, cette puissante famille est mentionnée dès le Xe siècle. Retrouvez les coordonnées et des infos sur ce élevage de Bullmastiff ainsi que sur de nombreux autres élevages, en Corrèze ou dans d'autres ##PAYS_NOM##. En Viennois, l'autorité de Rodolphe III se délite et entre 1011 et 1023, le roi concède ainsi à l'archevêque de Vienne pas moins de sept donations royales, qui permettent à l'archevêque d'acquérir entre autres le comitatus, le château royal de Pipet qui domine sa cité, ainsi que de nombreuses possessions fiscales dans le comté de Vienne[10],[46]. Après la mort de son fils unique en 1349, il décida de renoncer à ses Etats. Une tour en ruines qui concentre tant d’Histoire… Au sommet d’une motte, elle rappelle de façon symbolique le pouvoir des comtes d’Albon, qui furent à l’origine de la principauté du Dauphinois. Chantal Mazard sous la Direction de Vital Chomel. Cette énumération relève vingt-deux châteaux et mandements et chaque partie en reçoit onze. En 1095, le pape Urbain II mande au comte Guigues III, au clergé et au peuple de Grenoble, que, dans le concile tenu à Clermont, il a donné satisfaction aux plaintes de leur évêque au sujet du pagus de Sermorens. La villa Mantule demeure aux mains de l'église de Vienne jusqu'au début du XVe siècle. Comte d’Albon (partie de l'ancien comté de Vienne) en 1101. Groupe, Rhône-Alpes, Liste des comtes d'Albon puis dauphins de Viennois, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Comté_d%27Albon&oldid=174509040, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Le 30 janvier 1131, Guigues, comte dauphin, avec l'approbation de son père Guigues III, comte d'Albon, de la reine Mathilde, comtesse, et de son épouse Marguerite de Bourgogne, comtesse, sœur de Guillaume IV, comte de Bourgogne, donne à la milice du Temple de Salomon à Jérusalem et aux chevaliers défenseurs de la chrétienté[40]. Le comté d'Albon s'étend rapidement du fait des possessions successives des comtes d'Albon et sera renommé Dauphiné de Viennois en 1142 sous le règne de Guigues V d'Albon, premier dauphin du Viennois au décès de Guigues IV d'Albon, qui fut nommé Guigues Dauphin dans des actes de 1110 à juin ou juillet 1142 lors de son décès à La Buissière[1],[2],[3]. Bibliographie. Comte en, Fils de Guigues II. Ceci scellera la fin du comté de Sermorens. Humbert, frère de Guigues II, évêque de Grenoble n’hésite pas à associer ses proches parents à ses actes de gestion obtenant par exemple, en 1009, que le roi Rodolphe III concède à sa parentèle la moitié du château royal de Moras. Concernant ce surnom trois légendes s'affrontent, l'une nous dit qu'un dauphin (kêtos) aurait remonté le Rhône et aurait été vu a Vienne, la seconde que c'est le patois Do Vienné qui aurait fait en Allemand Do Fienné, la troisième que Vienne était une colonie de Grèce : Delphes, et de ce fait de nombreux comtes d'Albon ont porté comme second prénom Dauphin auquel il rajoutait de Viennois, équivalent assez peu courant au masculin du prénom féminin Delphine (ou Dauphine), et ce depuis Guigues IV Dauphin, comte d'Albon de 1133 à 1142. Pour les Dauphins du Viennois La famille d'Albon, ou Guigonides (nom donné par certains généalogistes en raison de nombreux membres nommés Guigues ou Guy), est une famille noble originaire du comté de Vienne mentionnée dès l'époque carolingienne.
2020 les comtes d'albon